Publicação
EUPHONIE, d'Hector Berlioz
| Resumo: | Hector Berlioz a publié en 1844 un petit récit où il imagine une ville de l’avenir régit par des principes musicaux, L’Euphonia. Republiée en 1852, dans un autre contexte critique, faisant partie des Soirées de L’Orchestre, il occupera la dernière soirée, après l’annonce de la fermeture du théâtre (« pour cause de réparations ») et avant l’épilogue de l’œuvre. Les « réparations » gagnent ainsi un symbolisme collectif, puisque l’ordre sociale est aussi une harmonie musicale. L’euphonie et l’eutopie s’imposent, à la vie, à la littérature et à la musique mais elles semblent indissociables de la dystopie, l'utopie étant la représentation de l'absence de lieu, peut-être le seul lieu où l'on peut recréer le monde ? |
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| Assunto: | music utopia littérature community communauté literature musique Berlioz (Hector) utopie |
| País: | Portugal |
| Tipo de documento: | journal article |
| Tipo de acesso: | Aberto |
| Instituição associada: | Carnets, Revista Electrónica de Estudos Franceses |
| Idioma: | francês |
| Origem: | Carnets, Revista Electrónica de Estudos Franceses |
| Resumo: | Hector Berlioz a publié en 1844 un petit récit où il imagine une ville de l’avenir régit par des principes musicaux, L’Euphonia. Republiée en 1852, dans un autre contexte critique, faisant partie des Soirées de L’Orchestre, il occupera la dernière soirée, après l’annonce de la fermeture du théâtre (« pour cause de réparations ») et avant l’épilogue de l’œuvre. Les « réparations » gagnent ainsi un symbolisme collectif, puisque l’ordre sociale est aussi une harmonie musicale. L’euphonie et l’eutopie s’imposent, à la vie, à la littérature et à la musique mais elles semblent indissociables de la dystopie, l'utopie étant la représentation de l'absence de lieu, peut-être le seul lieu où l'on peut recréer le monde ? |
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